Sauvage.

Le département le moins peuplé de France nous ouvre ses portes. Ici les étoiles, les forêts sont infinies, les chemins de VTT magnifiques et les gens acceuillants.  La Lozère nous fait découvrir son visage aux multiples facettes, de l’Aubrac, à la Margeride, en passant par les Cévennes…

08/09/20 Every miles count.

These ones seems to count as double. Uge stones on the way, we have to get down and walk downhill and push uphill. Every step is a struggle.
The number of Km and miles doesn’t matters and every path is different, it is not possible to resume our trip to the number of km done or the uphill elevation climbed. Like this afternoon we think that we did something like 5 (we don’t mesure and don’t have a counter) and it was more than enough. Now it’s playtime alongside the river and meeting with 2 little girls.

La GTMC, des chemins roulants ?

Pas aujourd’hui en tout cas. Le chemin est dur, très dur. Chargés comme nous sommes, nous ne comptons pas les km mais plutôt les mètres de dénivelé positif et savons que si le chemin est semé d’embûches comme aujourd’hui nous n’avancerons pas plus de 20km sur les temps de sieste de Samuel. Ça ne nous décourage pas, nous avons le temps et envie de le prendre.
Mais quand le chemin est pourri comme aujourd’hui, heureusement qu’on est ensemble. Nous nous faisons un bon pic nic délicieux grâce à la petite épicerie du village le midi, trouvons un joli spot de bivouac juste avant St Flour, et Samuel rencontre même deux copines avec qui jouer à leur sortie de l’école.

Très pratique les nounous du matin !!
C’est bon, le soleil s’est levé ! Go go go on déplie tout, on petit dej, on joue avec Samuel et on y va.
Plus besoin de remorque: tout nu sur le porte bagage, c’est le top !
Un vrai voyageur qui voyage léger coupe le manche de sa brosse à dent et….. fais des trous dans sa tasse Ahahah


09/09/20 For sale



First wheel spins in margeride. It’s crazy how landscape can change from one valley to another and to one mountain to another. Here earth is red trees are pine and its all different from cantal/Cézallier, yet we’ve been from one to the other by a few wheel spins crossing a river.
It leads us to ruynes en margeride and it’s unique grocery store with a big sign for sale on the door.
No foooooooood.
The worst nightmare of every human power traveler. Nevermind, we’ ll   buy everything left in the bakery store and order pizza for tonigh at the pizza truck. Tomorrow is another day. Yes but there is also a day after tomorrow and this one might be the beginning of our troubles because the next grocery store is 3 days away. We’ll see!


A vendre.
Nous allons bientôt arriver en Margeride, juste au delà de St Flour ! Dans cette petite ville, Pathy et Mathy continuent de nous faciliter la vie en allant acheter des chaussettes pour Samuel et un bon petit dessert alors que nous ne pouvons nous arrêter car le bout de choux dort. Car souvent si on arrête, il se réveille de sa sieste. Pour ne pas qu’ils se perdent, on leur envoie des indications par texto car, eux, n’ont pas le tracé sur leur portable. Ça va vite de se perdre, les balisages ne sont pas toujours évidents à trouver. Mais bon, malgré nos indications,ça ne les empêchera pas de se perdre quand même hein ! 😉
Juste après St Flour, le paysage change ! BIM les pins, la terre se colore, on prend de joli petit chemins de terre battue. évitons la pluie, manu et Pathy gaulent même 2 kg de prune juste avant de repartir de la pause pic nic. Ça nous alourdit mais ca vaut le coup !
L’arrivée en Margeride est officielle quand nous arrivons à Ruynes en Margeride. Sauf que, petit loupé, nous n’avons pas fait de courses à St Flour car j’étais persuadée qu’il y aurait de quoi faire à Ruynes et la seule épicerie que nous trouvons est à vendre… Bouarf. On dévalise la boulangerie et commandons des pizzas au camion sur la place du village. On l’a échappé belle pour ce soir et demain midi. Mais le problème c’est que nous sommes au début d’un No Man’s Land.. Prochaine épicerie à 3 jours de vélo d’ici… Bienvenue en Lozère !
Bref demain est un autre jour.

Petit picnic « abrité » sous les arbres. Il faut dire que la météo a vu juste avec les rares averses. Ambiance crachin Normand pas du tout motivant pour remonter sur le vélo !
Les petites mirabelles juteuses, un vrai délice !
Pizza et quart de rosé livrés par Pathy, le bivouac devient 10 étoiles :p
Miam miam miam, Pizzas pour tous !



10/10/20 Last but not least.


Dernier jour avec Pathy et Mathy.
Pour fêter ça on leur inflige une mega montée en direction du mont Mouchet. Nous non-plus nous ne le connaissions pas, mais voilà qui est fait et il est costaud, le bougre. Thierry se ruine la santé tout seul en essayant de nous retrouver pour nous aider à pousser. En haut on retrouve un groupe de vttistes en voyage de groupe, tout nus sur leur vélo tout surpris de nous voir la haut (non non ne vous méprenez pas, quand on-dit tout nus, ça signifique qu’ils ne sont pas en autonomie comme nous puisqu’ils ne portent que leur pic nic du jour et leur habits de rechange sur eux. Pas de tente, de duvet, de popote de bouffe pour les deux prochains jours…). Et ça nous fait bien rire quand 20 min plus tard les deux pauvres Pathy et Mathy arrivent à bout de souffle. Hé oui fallait pas s’amuser à monter et descendre et remonter et redescendre la montagne pour rien !!! Bon, OK on arrête de se moquer il faut dire qu’ils nous permettent de faire des siestes après le repas en emmenant Samuel se balader dans les bois sur les chemins de crêtes et surtout nous trouve un spot de bivouac 5*: en pleine nature, plat, avec une source d’eau pas loin, sans vis à vis, autorisé, avec une mega vue… Et remplie d’étoiles. Bienvenue en Lozère bis 😉

Pic nic sur la crête. On hésite entre l’ombre et le soleil.
Pathy se repose avant d’aller promener Samuel dans les bois avec Mathy
Jamais trop froide pour Samuel
Presque arrivé au bivouac du soir
Allez mathy plus que quelques mètres avant de découvrir le spot de Thierry… Le suspense est à son comble !

Et voici l’ultime bivouac en famille, une grand T2 très lumineux, épuré, avec vue sur la nature environnante. ici le salon/salle à manger/cuisine.
La suite parentale, coupée du vent, avec sol tout doux un peu sableux.



11/09/20 Bye bye ma/pathy

Cette fois ci ils retournent à leur kmion pour de bon. Nous on fait une petite infidélité à la gtmc en partant direction Saugues pour trouver une épicerie. Le chemin est magnifique mais arrivés aux courses, pas facile de retrouver ses marques à 3. Et on n’avait oublié qu’il ne faut jamais faire les courses ensemble. Les gros magasins (supermarché type intermache) nous désoriente par leur musique, lumière, pub, promo.. Trop de monde, trop de masques, le notre qui nous etouffe, on galère à trouver les produits dans ses magasins tous différents.. On ne se rappelle plus de rien, on s’énerve, on n’arrive plus à communiquer, on ne se comprend plus, on se frustre. On ressort tous les 3 avec le poil hérissé et une note trop salée. Et pourtant on avait fait attention à bien manger avant d’aller faire les courses ! Bon, les tensions finissent toujours par s’apaiser, on trouve un super spot pour dormir dans un décor typiquement lozerien. Ouf.

Jolis sentiers en Margeride
Samuel arrive à monter et descendre des chaises seul.
Chacun sa lessive (on ne met pas de savon dans les rivières)
Sur le pont de Pontajou..
… On y lance des mini radeaux !
Le bâtiment en question. Inspirant !
Petit moment de baignade volé, ici personne ne nous voit.
Maman regarde ce que j’ai trouvé !
Un scarabée !
Il est tellement content quand on monte la tente, il l’ouvre,
se jette dedans et c’est parti pour le quart d’heure de folie.



12/09/20 Alive when dead.

We’ve been riding through 10th of Margeride village which are made of a few stone made houses, mixed with a couple of stone made farms surrounded by a few fields in the middle of forest covered hills. Always a « spring  » in it for our bottle refill. The cloth hanging out to dry are cotton made working cloth, H&M is no where to be found. We’ve seen almost no one in theses village which gives us the feeling that no one live there anymore. Except today, Saturday afternoon, mass for a dead, the church is full and people are chatting outside, the village is alive once again, everybody is going to the pub .
Anyway riding margeride paths is awesome, very pretty, nice path, no one on the few roads we took, lots of water available, bivouac spot available everywhere.

Vide mais vivante.
Aujourd’hui c’est la visite de la Margeride par les chemins de traverse /Stevenson. Nous ne sommes pas sur le tracé principal mais un secondaire. Très mignon mais avec des chemins au sol instable. Sable, des graviers dans lesquels on s’enfoncent et où il faut déployer encore plus d’énergie pour avancer. On est peut être un peu fatigués aussi… Près de 15 jours sans journée de pause. Bref on ne se casse pas la tête pour trouver un spot et campons sur la colline en face du village.  En même temps le village doit compter 15 habitants max !

A vos paniers !!! apparemment y’en a un max ici en ce moment
Petit spot tranquilou en face du village. L’agriculteur qui est venu voir ce qu’était donc cette bâche envolée (notre tente en train de sécher) s’est excusé de venir nous déranger…!



13/09/20 Chemins de crête.

Ce matin grosse montée pour aller sur la crête et rouler sur des pistes de ski de fond. La haut on croise cueilleurs de champignons et chasseurs du dimanche. Les chemins sont plus ou moins roulants. Les single entre sapins et barbelés jonché de gros blocs de calcaire, on a vu mieux. On pique nique au bord du chemin, je m’enroule dans la couverture de survie pour me reposer  pendant que manu part à la cueillette au champi avec Samuel. La couverture de survie à un drôle d’effet sur les marcheurs qui me croit en train de mourir. Mais cette couverture me protège du froid, du chaud, du sol, elle est aussi notre protège tente (que nous glissons sous la tente pour isoler et éviter de la trouer) , notre nappe de picnic, notre tapis à langer. Au bout de la crête, on croise un troupeau de chevaux magnifiques et arrivons dans un petit bled à l’ambiance très accueillante. On demande où dormir, ce sera sans soucis, en plein cœur du village. Et en plus, il y a 100000 étoiles.

Ce moulin valait bien la photo !
Pays du Gevaudan et de sa bête. Est-il bien prudent de boire à cette fontaine?! (réponse quelques heures après les précieuses goulées d’eau fraîche… ouf tout va bien!!)
Pic nic qur la GTMC, non loin du domaine des Bouviers.
Le petit highway to hell de la fin… Aie aie aie
Sur les pistes de ski de fond.. on va à fond ! Ici on ne sent pas du tout la canicule, la température est parfaite !
Un single bien compliqué avec des grosses pierre hautes de chaque côté. Les pédales cognent et la remorque aussi. Trop étroit pour nous ce coup-ci !
Dans le village où on s’arrête pour la nuit coule un petit ruisseau. L’occasion pour Samuel de faire des bateaux et de voir des grenouilles ! 
Poser sa tente devant une étable !

14/09/20 Pause please.

Après une nuit trop bruyante à cause de la route à côté (ce village était en fait un col…) nous nous laissons rouler jusqu’au prochain camping à châteauneuf en randon. Operation repos et camping. On est crevés. Malgré la N88 en fond sonore et l’ambiance camping cariste retraités (Samuel regrette les vacances scolaires et ses petits camarades) , la salle hors sac est trop cool car pleine de jeux pour Samuel et dotée d’une bouilloire. En plus ça caille sévère la nuit depuis Clermont. On est en plein dans le vif du Massif Central, l’altitude moyenne est de 1100 m depuis 2 semaines. Alors manger le petit dej et le dîner au chaud ne fait pas de mal.

15/09/20 Fuyez pauvres fous.

Un seul objectif nous anime aujourd’hui. Quitter la Margeride pour avoir des nuits plus chaudes et arrêter le cododo poussifs de Samuel qui nous épuise. Go go go. On part l’après-midi et on trace jusqu’au Bleymard au pied du mont Lozère pour arriver le lendemain dans les Cévennes et les gorges du Tarn. Les chemins sont super, on avance bien. On traverse la fameuse N88 et hop Bye-bye la margeride. En plus, bim bam boum, super spot de bivouac trouvé trop facilement au bord d’une petit rivière nommé La Loire et un antique pont d’où jeter des milliers de bâtons.

On s’approche du mont Lozère…
Le voici en face !
Ce soir, on dort au bord de la Loire !
Il adore…
Le vieux pont d’où jeter bâtons et cailloux

16/09/20 Intense.

Mont Lozère nous voilà. Grosse montée vers la station de ski. Il suffit de pédaler, chaque tour de roue nous emmène au sommet. « Petit à petit, l’oiseau fait son nid ! ». Hop le col, Samuel se réveille en haut comme par enchantement. Pic nic mignon dans les bois sur la GTMC en redescendant quand une véritable course poursuite avec les orages et la pluie à travers les causses débute. Finalement nous ne prendrons pas de douche tout de suite, l’orage nous a devancé. Après cette descente folle notre arrivée à Pont de montvert dans la civilisation est brutale. Tellement qu’on avait oublié de réfléchir à l’endroit où nous allions dormir.. Même ici les gorges sont déjà touristiques. Véritable choc avec la Lozère que nous connaissions jusque là. Alors nous quittons ce brouhaha pour une petite route dans un vallon oublié où coule un charmant ruisseau. Nous jouons à Bateau sur l’eau avec le jouet panda et prenons le goûter. On aurait pu croire que la journée s’arrêterai sur ce beau moment mais c’aurait été trop facile ! La pluie et les orages arrivent et la peur des crues nous font chercher un abri en hauteur ! Nous trouvons une cabane en pierre cachée dans les bois et montons la tente dedans pour la nuit. Ouf, nous voilà au sec, reste plus qu’à surveiller que les échardes du plancher ou d’éventuels clous ne percent ni matelas ni tente et que Samuel ne passe à travers des trous du plancher. Grosse journée !

Nos premiers pas dans les Cévennes seront une bonne grosse montée !
Voilà, c’est par là. Tout droit !
Aie, ça commence à piquer, au total 10km de montée. Encore 4 !
Merci pathy/mathy pour ce petit cadeau caché au fond de nos sacoches. Petit coup de fouet/sucre bien apprécié pour arriver au sommet.
La montée vaut bien une bonne séance d’étirement. On aurait pu/du en faire plus souvent, mais on doit toujours courir derrière Samuel, puis on oublie.
Mini retenue d’eau, au top pour le picnique. Par contre aie aie aie les pieds, elle est glacée. Même Samuel fait le flamand rose tellement elle pique.
C’est encore l’été, on profite de toujours pouvoir manger des taboulés !
On se concentre, construction d’un bateau pour panda en cours
Tous à l’abri !!
C’est pas grand, mais tandem + remorque en bas avec les vielles ruches ; et nous, en haut, dans la tente montée au 1er étage (le toit fuit par endroit et le plancher est troué à d’autres, autant vous dire, qu’une fois que Samuel ne bouge plus une fois dans la tente !!!).

17/09/20 Après la pluie, le soleil.

Nous commençons la journée dans une forêt embuee, dégoulinante que les premiers rayons de soleil essaient de sécher. Les pluies ont été fortes. Nous empruntons ce matin de mignons petits chemins avec les Stevenson women and men, puis retrouvons les chemins GTMC pas cool du tout avec d’énormes pierres. Pourtant le paysage des causses est à couper le souffle. La matinée passent, nous n’avancons plus, la fatigue, la faim et la chaleur nous accablent. Samuel n’arrive pas à dormir tellement ça secoue. L’enervement prend le dessus. Nous avons besoin de repos après l’intense journée d’hier, et non de chemins VTT impraticables qui nous obligent à porter notre attirail sur plusieurs centaines de mètres ! Nous abandonnons la GTMC pour un camping au bord du Tarn juste avant Florac. Baignade dans le courant puis sous le pont pour se détendre sous un soleil qui transforme les rochers en pierrade pour les pieds. Mais le repos est de courte durée car déjà demain soir, la pluie revient et s’invite pour quelques jours. Il faut dès maintenant échafauder un plan pour se mettre à l’abri sur la durée, et en plus, il faut aller faire des courses…

Beaucoup plus attractive avec le rayon de soleil du matin n’est ce pas ?!
Petit sous bois du matin, nous sommes nombreux sur la route (beaucoup de marcheur/stevensonien) à chercher les premières chaleurs du soleil.
Petite route devient petit chemin très sympathique. Mais… que se passe t-il?! Changement de conducteur!!!
Petit pont méga mignon, par contre aie aie aie pour y arriver et surtout pour en repartir. Ca pousse, ca porte, ca fatigue…. heureusement que des marcheurs belges nous aident.
Trop beau les Cévennes, les gros blocs de granit se détachent sur ce beau gros ciel orageux.
Tout en haut d’un des nombreux causses. Normalement il ne reste plus qu’à se laisser glisser jusqu’à Florac.
Oui mais bon… Ca ne glisse pas du tout, mais alors pas du tout du tout. impossible de rouler, tout le monde descend, il faut viser entre les cailloux, ne pas trop voiler les roues ni abimer le tandem. Ne pas laisser l’énervement gagner du terrain…
Heureusement on retrouve la route, et hop on s’arrête au premier camping au bord du Tarn
Il est temps de: se baigner
de nager
et on se détend !

Nos repas

Alors alors comment on mange sur la GTMC en autonomie…??? Petits restau ? Non. Demi pension ? Non-plus.

Alors voici quelle méthode on a choisi :

On a 2 réchauds à alcool tout légers. L’un est fait en boîte de thon, l’autre une cannette de soda. La boîte de thon nous permet de faire cuire du riz complet par exemple car la contenance en alcool à brûler permet de faire durer le feu 15 minutes (le temps de cuisson + le temps d’ébullition). La canette permet de cuire des aliments qui nécessitent 3 minutes de cuisson, donc 5 minutes de combustion max. On s’en sert pour les soupes, les pâtes 3 minutes, les tisanes du matin.

On ne doit donc jamais être à court d’alcool à brûler.

On arrive à manger de tout sauf des légumes qui demandent beaucoup de cuisson, genre potiron, courge, panais, aubergines … Par contre riz, purée, pâtes, gnocchis, raviolis, quenelles, courgettes, tomates, poireaux, carottes, oignons, ail fonctionnent ! Et Vu qu’on a 2 feux (merci Pathy et Mathy) on peut désormais faire cuire 2 choses en même temps, genre la purée mousline d’un côté et les œufs sur la plat dans le couvercle de la popote. Ça c’est la révolution. Donc vous l’aurez compris on a une véritable gaziniere, mais hyper légère et peu volumineuse. On a aussi un petit paravent fait en canette.

Notre batterie de cuisine au grand complet: couvercle/poêle; popote; paravent; bruleur.

4 commentaires sur « Sauvage. »

  1. On oublie nuages et pluies, chemins défoncés et encailloutés et l’on se dit : aih, pourquoi n’est-on pas resté ? Car tout est trop beau, les photos, les endroits de poses et les commentaires tellement agréables. Sacré périple ! Et tant de souvenirs et de partages. On dit qu’un adulte ne se souvient plus de ce qui c’est passé avant ses 3 ans, mais ce ne sera pas le cas pour Samuel. Tant de belles choses avec Maman/Papa vont lui forger un avenir en acier trempé !!! Belles suites …

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